Trains

Notre magasin de modélisme situé à Wavre entre Bruxelles et Namur vous propose un large panel de modèles de trains et d'accessoires pour assouvir votre passion ferroviaire .

Les différentes échelles de trains

- Z = 1:220 (1 cm en Z correspond à 220 cm réels). Ecartement des rails 6.5 mm pour la voie normale. En 1972, considérant ne pas pouvoir se démarquer de la concurrence avec l'échelle N (1:160), Märklin présente l'échelle Z. Adulé par ses afficionados, gadget pour certains autres, l'échelle Z offre un maximum de possibilités pour un minimum d'encombrement. Surtout répandue en Allemagne, Autriche, Suisse et aux Etats Unis, l'échelle Z ou Miniclub (c'est son nom commercial) de Märklin s'adresse aux amoureux de la miniaturisation.

- N = 1:160. Ecartement des voies de 9mm. Son nom vient de l'initiale du nombre de millimètres d'écartement des rails d'une voie normale : neuf. L'initiale est la même dans de nombreuses langues : nine en anglais, neun en allemand., neuf en français.

- HO = 1:87. Ecartement des voies de 16.5 mm, avec ces deux systèmes AC (courant alternatif) ou DC (courant continu).

- 1 = 1/32. Ecartement des voies de 45 mm. Il s’agit de la plus grande échelle produite de manière industrielle pour le modélisme ferroviaire de voie normale.

- 2 ou plus communément appelée G = 1/22.5. Ecartement des voies de 64mm. Les premières locomotives et les voitures LGB ont été présentées il y a 40 ans ! Mais, depuis le naufrage de la marque, LGB a été repris par Märklin en 2008 : la fabrication de la voie LGB a démarré au début de janvier 2008 à l’usine hongroise de Märklin à Györ, en Hongrie. Un technicien de Nuremberg, spécialisé dans les moulages par injection, a été convaincu de venir travailler en Hongrie. Ainsi le savoir-faire existant à Nuremberg a été transféré sur le site de Györ. LGB impressionne par sa taille qui rend cette aventure ferroviaire si fascinante ! Cette illusion est presque parfaite lorsque les trains circulent à travers la nature réaliste de votre propre jardin.

Pour démarrer votre projet, nous vous proposons le livre "Les trains de jardin ", disponible au magasin !

Il y a bien longtemps, encore à l'époque des trains jouets en tôle, il y avait des trains fonctionnant en courant continu (ou DC), lesquels prenaient le courant par les roues uniquement, un pôle (+) sur un rail et l'autre pôle (-) sur l'autre rail, ce que nous appelons le deux rails.

Puis nous trouvions des trains fonctionnant en courant alternatif (~) prenant une alternance du courant par les rails porteurs et l'autre alternance par un frotteur ou une roulette en contact avec un troisième rail central. D'où l'expression le trois rails.

Petit à petit, avec l'apparition grand public du HO au milieu des années 50, la majorité des constructeurs a adopté la traction à courant continu sur des voies à deux rails, comme dans la réalité. Un constructeur principalement -Märklin- a conservé l'alimentation en courant alternatif et, pour des questions de plus grand réalisme, a tronçonné le rail central en plots fixés dans les traverses.

Notons que les deux systèmes sont incompatibles entre eux. Il s'agit donc d'un choix sans retour (le matériel tracté étant lui adaptable aux deux systèmes).

Préalablement à l'arrivée du numérique, le système "trois rails" alternatif présentait l'avantage de pouvoir très simplement installer des déviations et des boucles de retournement, car les deux rails porteurs étant à la même alternance, il n'y avait pas à gérer les inversions de courant qu'exige le continu. Le numérique a remis les pendules à l'heure car ces opérations sont maintenant aisément gérées par des modules commandés par les centrales.

Le système "deux rails" est aujourd'hui largement plus ouvert car il autorise la circulation de matériels provenant de l'ensemble des constructeurs et offre un système de voies conforme au modèle.

Le système Märklin conserve certains attraits mais ne permet pas de pratiquer un modélisme "strict" puisque, quels que puissent être les soins apportés à la pose et à la patine des voies, l'alignement de "picots" au milieu des traverses ne correspondra jamais à une situation réelle.

Cette situation donne lieu à des débats enflammés et récurrents entre tenants des deux systèmes.

Comment choisir son échelle de train ?

Pour choisir son échelle, deux solutions :

1) Choisir en fonction de la richesse des modèles existants :

Deux échelles dominent le marché, dans l'ordre, il s'agit du Ho puis le N.

Quoiqu’encore peu connue ou peu appréciée, l'échelle N offre pourtant de nombreux avantages. La taille des rails ainsi que celle des éléments permettent de créer un réseau peu encombrant même dans un petit appartement et offrant des possibilités incroyables ! Pour un réseau équivalent, le N demande pratiquement 4 fois moins de surface que le HO. De plus, le N est donc la seule échelle où tout le matériel présent sur le marché peut être panaché sans aucun problème.

L'avantage du Ho, c'est la possibilité d'avoir un maximum de détails reproduits.

2) Choisir en fonction de la place :

Un réseau de 3,80 m x 2,40 m en Ho donnerait (pour le même tracé) un réseau de 2,00 m x 1,30 m en N.

Inutile de vous dire que si on gardait la même dimension (3,80 m x 2,40 m) en N, le réseau serait nettement plus conséquent et plus développé qu'en Ho.

Comment choisir le thème de son futur réseau ?

C'est une question très difficile à répondre car en fait, cela correspond plus aux affinités de chacun. Mais nous pouvons toutefois dégager quelques tendances :

- Reproduire un site "coup de cœur", en général un souvenir de vacances...

- Prolonger ses souvenirs d'enfance...

- Reproduire un réseau type d'une revue.

- "Craquer" sur un modèle de locomotive (vapeur, diesel, électrique, tgv...) et construire son réseau autour...

- S'inspirer d'une époque particulière.